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Corinne Wallonie-Belgique
2021-AUTRES UROLOGUES :
Avant de décider d'aller aux USA, j'ai rencontré 3 urologues en Belgique pour soulager douleurs en enlevant la bandelette et la promontofixation :
1/ Province de Hainaut (Belgique) le 13 juillet 2021. Urologue femme
Cystoscopie réalisée par elle le 2 septembre 2021.
Elle ne peut pas m'opérer.
2/ Province de Brabant (hôpital Erasme à Bruxelles) le 22 septembre 2021.
Il accepte de m'opérer dès qu'il recevra le "Protocole opératoire de 2015", car il ne sait pas ce que son copain urologue a mis comme bandelette et promonto.
Jamais eu de nouvelles malgré facture de € 72,00 et nombreux appels téléphoniques.
3/ Province de Antwerpen (Belgique), le 26 octobre 2021.
Il est capable de retirer la bandelette mais pas la promontofixation, et s'il obtient le protocole opératoire de 2015 !
2021-ERREUR de l'hôpital découverte 3 mois après l'audience au Tribunal du 13 septembre 2021:
J'ai dû écrire en décembre 2021 à la PHARMACIE de l'hôpital car la bandelette et la prothèse ne figuraient pas dans le dossier médical déposé par l'hôpital au TRIBUNAL en avril 2021 (toujours pour cette opération du 20 mai 2015) !!!
Pas de communication entre la pharmacie et le dossier du patient !
POURQUOI, le chirurgien-urologue coupable ne m'a jamais fait connaître les informations ci-dessous ?
Réponse : un prédateur chirurgical qui veut s'entrainer à poser une bandelette de la marque CL MEDICAL, et, tant qu'à profiter de l'occasion, tester aussi une nouvelle prothèse de la marque PARIETEX (sortie en 2014 et retirée du marché en 2017) ne communique rien à sa victime, surtout si elle n'avait absolument pas besoin de ces deux implants, puisqu'elle était venue le voir pour un nerf coincé à libérer, et pas pour lui ligoter les organes génitaux et autres !
Voici les références incomplètes des 2 implants selon courrier de la directrice médicale en date du 10 décembre 2021, et donc trop tard pour le Tribunal :
Ces références sont incomplètes car "Medical Wallonie Business Plateform" était un grossiste, pas un fabricant. Il a fallu encore réécrire par mail et supplier ! Voici enfin la deuxième réponse de la secrétaire de la pharmacie en date du 17 janvier 2022 : "nom du fabricant : CL MEDICAL"
(Eh oui, 6 ans et 10 mois après l'opération catastrophique).
De plus, il n'est pas indiqué si ce TREILLIS SUBURETHRAL est une bandelette transobturatrice (= TOT) ou une TVT.
Impossible d'en savoir plus avec cette secrétaire de la pharmacie de l'hôpital ...
Comme il n'existe aucun protocole détaillé sur cette triple opération, j'ai dû demander encore l'aide des victimes françaises pour savoir ce qu'était une "IS 11 RO"et savoir la différence entre une TOT et une TVT car moi, je n'y connaissais rien.
Quel choc encore d'apprendre en janvier 2022 que c'était finalement une TOT qui traversait mes muscles obturateurs, et non pas simplement une bandelette sous l'urètre. C'est donc cela qui provoquait des douleurs atroces à la marche, la jambe gauche étant attaché à la jambe droite via une bandelette en plastique de 20 cm de long qui cisaille notamment les muscles obturateurs à chaque pas ...
C'est donc cette TOT qui a sauté (racine jambe gauche) en juin 2015 après une grosse poussée-caca bloquée par un tampon-compresse (gros comme un bouchon de mousseux) oublié par l'urologue dans le vagin. C'est donc à cause de cela les séquelles dont je souffrirais jusqu'à la fin de mes jours.
Comment peut-on installer une telle merde dans le corps d'une femme sans même lui avoir remis la fiche d'information de 7 pages et le formulaire de consentement éclairé de 2 pages qu'elle aurait dû signer au moins 1 semaine avant l'opération ! Documents découverts seulement en 2022 (par une victime Bruxelloise) mais qui existent depuis 2014 sur le site Internet de la BAU (Belgian Association Urology).
Idem pour la prothèse PARIETEX qui est un implant à haut risque, fiche d'information de 9 pages et
Mais non, ELLE NE SAVAIT PAS en 2015 qu'on allait lui installer des implants définitifs dans ses parties intimes ... puisqu'elle voulait juste qu'on libère son nerf pudendal coincé dans le Canal d'Alcock qui lui occasionnait des douleurs et perturbait sa vessie.
C'est pour ce nerf pudendal qu'elle avait signé, le matin même de l'opération soit le mercredi 20 mai 2015, le seul consentement-type de l'hôpital prévu pour 1 seule opération et non pas pour 3 opérations différentes dont deux avec des dispositifs médicaux à implanter !!!
Plus jamais elle ne fera confiance à un chirurgien ...